lundi 9 décembre, 2024 | 20:29

Les Délires de Mada : Souvent, on se décourage hein !

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La conviction a, au moins, le mérite de nous maintenir dans la bataille !

C’est par passion qu’on a embrassé ce métier de journalisme. C’est vrai qu’on a débuté et appris dans le tas, mais on s’est formé pour répondre aux attentes de nos lecteurs. En commençant cette aventure, l’objectif n’était pas de chercher l’argent, mais de rendre service à l’humanité à travers notre passion. Bon, on veut l’argent aussi, par exemple, tu me fais un dépôt de 25 000 tout de suite, genre je vais refuser parce que je travaille par passion ? Non dhè. Donc avec cette volonté de bien faire, on a de la force chaque jour. Mais souvent, on se décourage hein.

En fait, dans la vie et sur les réseaux sociaux où on exerce notre travail, il y a souvent des choses bizarres. Par exemple, nous on a décidé d’être dans le social. On accompagne toutes les bonnes initiatives et on écrit aussi pour contribuer à gérer des situations pour l’intérêt commun. Cela, avec nos propres moyens et surtout nos compétences. Moi personnellement, je change de portable chaque année, pas parce que je veux suivre la mode mais parce qu’un téléphone ne peut pas tenir plus d’un an dans mes mains à cause de la manipulation excessive. Sinon le portable que he tiens a déjà un an hein. Et puis quelles conséquences sur mes yeux d’ailleurs ! Mais là, souvent… Certains ne nous soutiennent pas en retour de notre appui. On dit qu’on doit faire le bien sans attendre un retour. C’est faux. Tout acte que l’humain pose, il attend quelque chose en retour, ne serait-ce que la fierté ou la reconnaissance. Il y a aussi qu’on passe souvent des nuits à chercher les mots justes mais tu vas souvent rencontrer des sales commentaires où on te lave propre propre.

Vous savez ? Les Bwaba sont trop gaou. Une fille Bwaba a raconté à sa mère qu’a chaque récréation, ses camarades garçons la font monter sur le manguier de l’école pour cueillir les mangues. Sa mère la somme de plus accepter car les garçons veulent juste regarder son slip. Le lendemain, elle revient de l’école dire ceci à sa mère : Aujourd’hui, quand les garçons m’ont dit de monter sur l’arbre, j’ai enlevé mon slip, mettre dans mon sac avant de monter.

Bon j’ai fait tout cet écrit pour seulement vous dire qu’on a besoin de vous pour liker, commenter et partagez nos publications. Vous n’imaginez pas la force que cela peut nous donner. Sinon, moi, presque rien ne me décourage dans l’exercice de ma passion car j’ecris d’abord pour mon propre plaisir. Ce qui me manque, c’est un me pour l’ajouter à mon Mada.

Issa Mada Dama
Timbanews.net

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